« Je n’étais pas né quand c’est arrivé, cependant j’ai eu l’héritage de mes parents et grands-parents pour me raconter l’histoire de cette manifestation qui a marqué notre histoire à jamais. C’était une guerre de pouvoir. Nous voulions seulement que tout le monde soit respecté, une représentation égale, un partage équitable et capable de préserver notre culture et notre langue maternelle. Dans ma jeunesse, dans mon pays, au Bangladesh, pour commémorer les événements nous allions au Shaheed Minar (Martyr’s Monument) aux petites heures du matin le 21 février de chaque année pour commémorer des événements, pour démontrer notre respect. Shaheed Minar est un monument construit à la mémoire des personnes qui ont perdu la vie en se battant pour obtenir le droit de parler dans notre langue maternelle. En costume traditionnel, nous apportions des fleurs au monument et en silence placez-les sur le sol pour honorer les leaders de ce mouvement. Nous chantions une chanson spéciale que nous chantons encore dans notre langue maternelle. Ce sont des chants reliés à cette partie de notre histoire. », explique Mohammad Ali
